samedi 13 février 2010



Dehors, c'est déja entre chiens et loups, et je ne suis pas d'humeur nocturne. J'aimerais qu'on soit le matin. Trainer en pyjama dans mon fauteuil en osier, en regardant un animé de mon enfance. Boire un café latte de chez Starbucks, que j'ai eu le malheur de goûter lundi dernier. Avoir des flash-backs soudains de détails insignifiants, comme la première fois que j'ai appris le vocabulaire de la féerie en anglais.
J'ai envie de lingerie enfantine et mignonne, à pois et petites fleurs. Pour résumer, j'aimerais de la douceur. J'ai retrouvé mon ordinateur portable, fraichement revenu de chez le docteur, qui apporte avec lui les textes que j'avais commencé à écrire. Et je me sens rassurée. Tout d'un coup, j'ai envie de créer une histoire pour mon Sensei (professeur), quelque chose qui pourrait le rendre fier de moi, peut-être. Je regarde des reportages sur les modes japonaises et j'entends le même mot qui revient inlassablement : 'douceur'.
J'avoue que j'ai légèrement envie d'une vie Marshmallow, maintenant.

1 commentaire:

  1. C'est "le monde écrit" qui m'a conduite à vous, et j'ai juste envie de vous dire que j'aime bien vos billets, petite fleur qui ne demande qu'à éclore.

    RépondreSupprimer