
Il y a quelques mois, je m'asseyais sur ma valise pleine à craquer et je sanglotait doucement. Il faisait un temps comme celui ci, lumineux, pourtant balayé d'averses torrentielles. J'avais besoin de changement bon sang, de quelque chose. D'échappée. C'était juste avant de partir pour un pays sous la neige au goût sucré sur ma langue. Peut être même que certains parmi vous s'en souviennent.
Toujours est-il que la couleur du ciel ne cesse de changer, de passer par toutes les nuances de gris que je connait, et que mon blues demeure. Je pleure silencieusement au bout de mon lit. Pourtant...Dum spiro spero.
Mr. Destin, je pense à vous.
En février dernier, comment vous sentiez vous?
Dum spiro spero, oui. Le bleu reviendra, j'en suis certain. Quant au Destin, n'est-il pas ce que nous en faisons ?
RépondreSupprimerJe pense que je me sentais frigorifié mais amoureux, en février.
L'oiseau
En février dernier, je grelottais dans ma maison sans feu l'hiver. Je ne sais plus si j'avais faim aussi, ce mois là, parce que les contingences matérielles m'affectent dans l'instant, et puis j'oublie. Il faut aller de l'avant. Je me sentais en attente de printemps, et j'attendais le 21 mars.
RépondreSupprimerLe destin, c'est ce à quoi on se condamne lorsqu'on oublie de se bâtir un avenir. Et je sais que c'est vrai.
Ah, comme les souvenirs remontent....En février dernier, j'étais triste et inquiète. Ma chatte, ma Sido tant aimée, bleue-crème, s'en est allée un soir et n'est jamais rentrée..............
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