jeudi 30 septembre 2010



Devant le soir lapis lazuli, j'ai murmuré un poème et caressé les feuilles veloutées de ma plante verte.

A monster, A player
That's what you are, you mocking bird
And I get the taste of metal in my mouth
After I thought about you
For one minute or so
People ruiner.
Romantic's savior.


Cette fois ci je pleure. En écoutant du classique que mes chevilles trop faibles ne peuvent honorer. Deux oiseaux moqueurs que j'ai aimé sont revenus se poser sur le rebord de ma fenêtre. Ils ont regardé mes joues étirées par mes pleurs, un peu rosées. Leurs yeux noirs étaient vides de toute réponse, comme de tout réconfort. Flap, flap, flap, le bruit de leurs ailes contre mon doigt qui les caressaient. Oiseaux de malheurs. Que ferait Marianne Dashwood?
Chère Miss Jane A., ma chère amie d'une autre époque, je vous demande conseil. Je suis égarée.


De quelle couleur est la soirée, chez vous? Quel temps fait-il? Quelles odeurs?
PS: J'ai changé de robe encore une fois -je me sens mieux avec un fond sombre. J'espère que vous n'êtes pas trop perturbés. Voila ma robe d'automne.

4 commentaires:

  1. Je trouve ton nouveau fond plus joli.

    j'espère que tes larmes ont séché et que tu vas mieux.

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  2. Le temps au Québec est au déluge, sous une grosse couverture. C'est confortable dans la maison, mais dehors c'est l'horreur.

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  3. Chez moi, la soirée est pourpre.
    Je crois qu'il pleut, un tout petit peu.
    Ça sent le riz, parce-que mon Vampire vient tout juste d'en faire cuire.


    Comment vas tu petit Biscuit?

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  4. Ma foi, je ne me souviens déjà plus....

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