
Je relis mes cours d'étymologie, et je vois quelques statistiques: combien de mots pour qu'un langue vive, combien de mots dans un dictionnaire. Combien de mots pour écrire notre histoire à nous? Combien de pierres-de-travaux, de primevères, de baisers, d'océans salés?
Et voila que je pose des questions qui n'en sont pas. Ce qui est important: Monsieur Thé, vous êtes convié à une après-midi en ma compagnie, quelque part en Juin. Je vous invite à faire un tour aux états-unis,puis peut-être dans une librairie Bavarde, et enfin à déguster une pâtisserie en particulier: Un Paris-Brest.
Il serait particulièrement sot de ne pas être au rendez-vous.....:)
RépondreSupprimerMa douce fille Biscuit...
RépondreSupprimerJe suis d'accord avec Anne, particulièrement sot ! A sa place, je ne manquerai ça pour rien au monde !
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