lundi 21 mars 2011

Aujourd'hui encore mon monde parle d'un homme-pinceau, un homme à la crinière duveteuse, un homme qui rit au milieu de la campagne. Mon esprit s'attache au sien. Oh, Homme-Thé, comme je t'aime et comme j'aime les fils rouges-passion entre toi et moi. Comme j'adore être ta reine dénudée, ton fruit d'été,ton chat apprivoisé.
Je relis mes cours d'étymologie, et je vois quelques statistiques: combien de mots pour qu'un langue vive, combien de mots dans un dictionnaire. Combien de mots pour écrire notre histoire à nous? Combien de pierres-de-travaux, de primevères, de baisers, d'océans salés?
Et voila que je pose des questions qui n'en sont pas. Ce qui est important: Monsieur Thé, vous êtes convié à une après-midi en ma compagnie, quelque part en Juin. Je vous invite à faire un tour aux états-unis,puis peut-être dans une librairie Bavarde, et enfin à déguster une pâtisserie en particulier: Un Paris-Brest.

3 commentaires:

  1. Il serait particulièrement sot de ne pas être au rendez-vous.....:)

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  2. Je suis d'accord avec Anne, particulièrement sot ! A sa place, je ne manquerai ça pour rien au monde !

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