
Une petite panne d'inspiration, pour la fille Biscuit? Se prélasse-t-elle au milieu de pages laiteuses?
En réalité écrire me démange presque autant que mes piqûres de moustiques, mais, simplement, je me perds délicieusement dans des rêveries au goût de cookies, contre la douceur d'une neige imaginaire, je rêve sans rien faire à des demoiselles dans des citées sans nom, des nobles et des imprimés floraux, des robes aux odeurs de macarons.
Voila, pour résumer mon humeur, un passage d'une chanson dont l'auteur, bien que critiquable, me rappelle un joli Paris couleur café-crème ou les paysages champêtres de paradis de mon enfance. La chanson en elle-même me donne une bouffée d'espoir jaune citron, de sérénité brumeuse aux arômes de thé, et, il faut bien l'avouer, un certain sentiment d'aristocratisme.
Nous sommes toutes les filles de l’Eden
Nous dévalons ses rues cendrées
Au coeur d’un éternel été
Nous sommes les demoiselles d’Eden
Les châtelaines au coeur scellé
Qui cède au quatorzième été
Les soleils mourants
De ces ciels voilés
Sont mes adieux en grand
hé hé....ça sent les vacances, on dirait ! :)
RépondreSupprimerMoi je le vois bleu, ce songe.
RépondreSupprimerPeut-être à cause de la photo...
s.h.
J'ai toujours faim quand je te lis, ma jolie!
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