
The day of night. C'est le nom du morceau que j'écoute à chaque fois que le temps ressemble à une boîte embrumée, comme aujourd'hui. Le gris entoure et définit les limites de mon monde. Quelque part, je trouve ça rassurant, et quand la mélodie touche à sa fin, mon mal de ventre disparait. Je mange un Non-autorisé le plus lentement possible. Je bois café sur café et je soupire avec délice. Les gens m'ont lancé des défis d'écriture à la pelle, et je doit garder les yeux ouverts longtemps si je veux tenir mes promesses. Je touche ma joue, qui est devenue toute douce et je pense à Sensei, à qui je dois aussi des pages. J'ai bien l'intention de passer ma journée, et ma nuit à scribouiller frénétiquement. Je n'ai vu personne aujourd'hui. C'est bien dommage. J'aimerais, demain ou après demain, quand le "jour de la nuit" sera terminé, rencontrer quelqu'un qui m'inspire. Quelqu'un plein de poésie. Moi, je suis pleine d'espoir.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire