They were weeks away from graduation.
Cette phrase tirée de Bowling for Columbine s'applique à me faire tourner la tête, à résonner quand tout le monde autour se tait, et je la chuchote avant de m'endormir,la transforme en potion de courage.Je suis nue, exposée au jugement et aux railleries sur la place pavée.Mais sur mon bras intouché...J'écris ces quatre mots.Parce que c'est ma situation actuelle,après tout. Weeks away from graduation. Et je le vois, car les peaux se dorent peu à peu et s'offrent à l'astre à la voix chaude. Près du canal, la mousse grimpe le long des murs. En levant le nez en l'air, je m'interroge sur le nom de ces magnifiques arbres : élancés et couverts de fleurs roses pâles, serrées les unes contre les autres, comme si elles aussi se soutenaient. En me demandant si elles sont amies ou soeurs, je laisse mes muscles s'engourdir. J'aimerais...Quelques mots doux. Prononcés à mi-voix, quelque part entre aujourd'hui et demain, des mots couleurs lavande, de l'exacte couleur du ciel,ici.
J'aurais besoin d'une once d'accalmie.
Avez-vous tendance à rougir?
Si vous avez le temps, et l'envie, laissez moi un mot?
Je rougis beaucoup, dès que l'on me complimente, dès que l'on me regarde avec insistance, lorsqu'on me cri dessus, lorsqu'on m'offre un cadeau ou que j'offre un cadeau...
RépondreSupprimerEt ça m'embête toujours autant, je ne peux rien cacher.
Non, je ne rougis pas ; je suis la seule à savoir ma gêne - ça se traduit par une bouffée de chaleur. Rien de plus. Ouf ! J'ai du bol !
RépondreSupprimerTes billets sont toujours très agréables à lire. Continues, surtout.....
Bowling for Columbine... quel film ! Pourquoi donc te raillerait-on en place publique ?
RépondreSupprimerJe ne sais pas si je rougis mais je sais que je suis incapable de cacher quoi que ce soit, tout se lit sur mon visage, de la mauvaise humeur à la joie, de l'envie au désintérêt. Je ne sais rien cacher.
L'oiseau
Merci d'être venue chez moi, tu es arrivée au bon moment puisque je viens à peine de le dé-privatiser.
RépondreSupprimerMerci pour tes commentaires.
Moi je rougis mais qu'avec certaines personnes en général.
La Nature, ou Verte, œuvre avec le temps. Faut laisser faire. Rougir de plaisir, de honte, ou des deux ! Au centre de tout il y a un volcan. Faites qu'il se calme.
RépondreSupprimerComme Anne, je rougis au dedans... mais il paraît que ça ne se voit pas.
RépondreSupprimerA part ça, quel mot voudrais-tu qu'on te laisse ? Je te propose de garder "paragonial". Il est peu sage et embête ses petits camarades, qui d'ailleurs le traitent de parasite.