samedi 29 mai 2010



Manger des fraises pulpeuses et écouter de la musique indienne, parce que ce soir tout est désir et confusion.
Le sol est d'or, le ciel d'argent. Les étoiles se confondent à la pluie, passent sur mes joues, coulent derrière mes oreilles. Ou peut-être que ce sont mes larmes transportée par le vent. L'odeur de la mandarine, la végétation luxuriante au dehors, alors que tout ce que je veux c'est de la terre dorée et des arômes voluptueux.
Je ne sais pas. Je te veux. Je crois.
Tout en tressant mes cheveux, je repense à cette maxime noire et blanche, brumeuse et pourtant transparente:
"Fate versus free-will. Science versus Faith"
Je ne comprends pas. Je voudrais rire et me jeter dans tes bras. Je pleure et je rampe. Je danse une valse macabre. Je veux retrouver mon soleil. Mon crépuscule aux rayons d'espoirs et de confiance.
Mais l'orage approche. L'orage approche.


Avez vous la larme facile?

4 commentaires:

  1. J'aime tes textes parce que je les trouve mouvants, à tel point que je te soupçonne parfois de les modifier par petits bouts pour nous agacer la vue...
    J'ai la larme assez facile mais elle ne coule jamais.

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  2. A la question je répondrais "oui". Et quand les mots sont pleins, porteurs de sens et d'essences, les barrages lacrymaux ne sont pas loin de céder... J'aime.

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